|
|
| Un jeu con | |
|
+41Gwendoline Barrow lokii Sylielle ghostfighter Klayss memoriam Papy-White Saraces Haoten alphatwins Kotenamar Tyanne Talu Khaalya Erzsebet-Bathory Jujupsi Ekkin Kalyth Warrior-Strike Tartageule -sharo- Amla Meow Han mala Fee Tuk-Teufti MissMiches Farkdalz Lumi Toan Estercat MythSetesh aloix Element BlackGitarooMon ecoloufe superbobob Ifhan Youffie Korgan 45 participants | |
Auteur | Message |
---|
Sylielle
Nombre de messages : 21 Age : 37 Classe : Crâ Date d'inscription : 07/05/2008
| Sujet: Re: Un jeu con Lun 23 Juin 2008 - 18:25 | |
| Sa petite paille affutée me bidouille la nuque, mais quand Jean-Paul caresse ma cheville, après je découvre que Peugeot anticipe nos ébats hasardeux au point H, lequel ne serait pas vraiment idéal pour saccager vertement mon jardinet, alors que celui qui pourrait le pendre par les omoplates lui renifle très accidentellement Popaul, le singe irascible et pervers décide pour culbuter forcément la voiture de la maitresse sadique de mon facteur Poney qui roule mais n'amasse pas mousse de bière mortuaire.
Il suçait ardemment le moignon turgescent de mon MisterFreeze quand soudain, trois pingouins priapiques égypto-congolais escaladèrent gaillardement l'escalope aux ministres, sans sushi ni whisky après rasage impromptu, alors 1574 Diplodocus hermaphrodites unijambistes crièrent :"DTC", il serra, passionnément dindophile, son porte-bonheur Neo-finlandais en mousse comme jamais personne ne l'avait tamponné. Paradoxalement, jamais il n'aurait accomplit profondément une otarie aussi acariâtre et lunatique orchidée. Je pensais à Bernard, ton étonnant scarabée doré, celui qui danse vigoureusement assis la journée sur ses statuettes de carbone Auchan, évidemment ce n'est plus légal ni flexible si on prétend savoir comment ronfler bizarrement.
Or, argent, le métal apeuré homosexuel, ne permet pas d'arriver ensanglanté devant 48 andouillettes enrhumées de trois mexicains autodidactes néo-autodidaxie thoraciques atchic-atchic-atchic ail ail ail.Mais dissimulant son anticonstitutionnelle bible martienne dans sa poubelle rose, Françoise décapuchonna sa capuche visqueusement en postillonnant vulgairement tel un dromadaire furibond, béguéyant instinctivement que l'ascenseur colérique ne crapahute que par la pensée.
J'imagine Albert Einstein promener la pince serrée contre ses enjolivures et danser gaiement la polka affublé d'une perruque dorée et oui. J'admire sa fougue grandissante dans l'espoir qu'Aristote m'asticote le lampion en opérant 18 Pangolins hippies. Cependant Michel oOo-BiGbOsS-oOo, scaphandrier émérite, ne se mouchait jamais avec son pied rabougri dansant la Carioca ; youpi, dit-il, malaxant patiemment son verre de mousse hallucinogène offert par inadvertance au curé translucide et bavant.
Même son tracteur malfaisant, ainsi soit-il, gambadait hétéroclitement dans l'abattoir joyeux. Supposant qu'il flotterait hardument sur cette couche épaisse comme mon engin, graour, Jean-Paul capilotracta vivement ses baluchons, sans équivoque. Saisissant Plaithore par la tête, ballons affriolants volent par dessus cet unijambiste | |
| | | Klayss
Nombre de messages : 5 Classe : Ninie =) Date d'inscription : 04/01/2008
| Sujet: Re: Un jeu con Mer 25 Juin 2008 - 11:52 | |
| Sa petite paille affutée me bidouille la nuque, mais quand Jean-Paul caresse ma cheville, après je découvre que Peugeot anticipe nos ébats hasardeux au point H, lequel ne serait pas vraiment idéal pour saccager vertement mon jardinet, alors que celui qui pourrait le pendre par les omoplates lui renifle très accidentellement Popaul, le singe irascible et pervers décide pour culbuter forcément la voiture de la maitresse sadique de mon facteur Poney qui roule mais n'amasse pas mousse de bière mortuaire.
Il suçait ardemment le moignon turgescent de mon MisterFreeze quand soudain, trois pingouins priapiques égypto-congolais escaladèrent gaillardement l'escalope aux ministres, sans sushi ni whisky après rasage impromptu, alors 1574 Diplodocus hermaphrodites unijambistes crièrent :"DTC", il serra, passionnément dindophile, son porte-bonheur Neo-finlandais en mousse comme jamais personne ne l'avait tamponné. Paradoxalement, jamais il n'aurait accomplit profondément une otarie aussi acariâtre et lunatique orchidée. Je pensais à Bernard, ton étonnant scarabée doré, celui qui danse vigoureusement assis la journée sur ses statuettes de carbone Auchan, évidemment ce n'est plus légal ni flexible si on prétend savoir comment ronfler bizarrement.
Or, argent, le métal apeuré homosexuel, ne permet pas d'arriver ensanglanté devant 48 andouillettes enrhumées de trois mexicains autodidactes néo-autodidaxie thoraciques atchic-atchic-atchic ail ail ail.Mais dissimulant son anticonstitutionnelle bible martienne dans sa poubelle rose, Françoise décapuchonna sa capuche visqueusement en postillonnant vulgairement tel un dromadaire furibond, béguéyant instinctivement que l'ascenseur colérique ne crapahute que par la pensée.
J'imagine Albert Einstein promener la pince serrée contre ses enjolivures et danser gaiement la polka affublé d'une perruque dorée et oui. J'admire sa fougue grandissante dans l'espoir qu'Aristote m'asticote le lampion en opérant 18 Pangolins hippies. Cependant Michel oOo-BiGbOsS-oOo, scaphandrier émérite, ne se mouchait jamais avec son pied rabougri dansant la Carioca ; youpi, dit-il, malaxant patiemment son verre de mousse hallucinogène offert par inadvertance au curé translucide et bavant.
Même son tracteur malfaisant, ainsi soit-il, gambadait hétéroclitement dans l'abattoir joyeux. Supposant qu'il flotterait hardument sur cette couche épaisse comme mon engin, graour, Jean-Paul capilotracta vivement ses baluchons, sans équivoque. Saisissant Plaithore par la tête, ballons affriolants volent par dessus cet unijambiste travelo | |
| | | MythSetesh Stoi la mite ! (Secrétaire diplômée)
Nombre de messages : 1749 Classe : pas classe. Date d'inscription : 04/01/2007
| Sujet: Re: Un jeu con Mer 25 Juin 2008 - 16:04 | |
| Sa petite paille affutée me bidouille la nuque, mais quand Jean-Paul caresse ma cheville, après je découvre que Peugeot anticipe nos ébats hasardeux au point H, lequel ne serait pas vraiment idéal pour saccager vertement mon jardinet, alors que celui qui pourrait le pendre par les omoplates lui renifle très accidentellement Popaul, le singe irascible et pervers décide pour culbuter forcément la voiture de la maitresse sadique de mon facteur Poney qui roule mais n'amasse pas mousse de bière mortuaire.
Il suçait ardemment le moignon turgescent de mon MisterFreeze quand soudain, trois pingouins priapiques égypto-congolais escaladèrent gaillardement l'escalope aux ministres, sans sushi ni whisky après rasage impromptu, alors 1574 Diplodocus hermaphrodites unijambistes crièrent :"DTC", il serra, passionnément dindophile, son porte-bonheur Neo-finlandais en mousse comme jamais personne ne l'avait tamponné. Paradoxalement, jamais il n'aurait accomplit profondément une otarie aussi acariâtre et lunatique orchidée. Je pensais à Bernard, ton étonnant scarabée doré, celui qui danse vigoureusement assis la journée sur ses statuettes de carbone Auchan, évidemment ce n'est plus légal ni flexible si on prétend savoir comment ronfler bizarrement.
Or, argent, le métal apeuré homosexuel, ne permet pas d'arriver ensanglanté devant 48 andouillettes enrhumées de trois mexicains autodidactes néo-autodidaxie thoraciques atchic-atchic-atchic ail ail ail.Mais dissimulant son anticonstitutionnelle bible martienne dans sa poubelle rose, Françoise décapuchonna sa capuche visqueusement en postillonnant vulgairement tel un dromadaire furibond, béguéyant instinctivement que l'ascenseur colérique ne crapahute que par la pensée.
J'imagine Albert Einstein promener la pince serrée contre ses enjolivures et danser gaiement la polka affublé d'une perruque dorée et oui. J'admire sa fougue grandissante dans l'espoir qu'Aristote m'asticote le lampion en opérant 18 Pangolins hippies. Cependant Michel oOo-BiGbOsS-oOo, scaphandrier émérite, ne se mouchait jamais avec son pied rabougri dansant la Carioca ; youpi, dit-il, malaxant patiemment son verre de mousse hallucinogène offert par inadvertance au curé translucide et bavant.
Même son tracteur malfaisant, ainsi soit-il, gambadait hétéroclitement dans l'abattoir joyeux. Supposant qu'il flotterait hardument sur cette couche épaisse comme mon engin, graour, Jean-Paul capilotracta vivement ses baluchons, sans équivoque. Saisissant Plaithore par la tête, ballons affriolants volent par dessus cet unijambiste travelo assis | |
| | | Gwendoline Barrow Dépanneuse de barreaux d'érable
Nombre de messages : 295 Age : 37 Classe : Crâette Date d'inscription : 07/01/2008
| Sujet: Re: Un jeu con Mer 25 Juin 2008 - 17:33 | |
| Sa petite paille affutée me bidouille la nuque, mais quand Jean-Paul caresse ma cheville, après je découvre que Peugeot anticipe nos ébats hasardeux au point H, lequel ne serait pas vraiment idéal pour saccager vertement mon jardinet, alors que celui qui pourrait le pendre par les omoplates lui renifle très accidentellement Popaul, le singe irascible et pervers décide pour culbuter forcément la voiture de la maitresse sadique de mon facteur Poney qui roule mais n'amasse pas mousse de bière mortuaire.
Il suçait ardemment le moignon turgescent de mon MisterFreeze quand soudain, trois pingouins priapiques égypto-congolais escaladèrent gaillardement l'escalope aux ministres, sans sushi ni whisky après rasage impromptu, alors 1574 Diplodocus hermaphrodites unijambistes crièrent :"DTC", il serra, passionnément dindophile, son porte-bonheur Neo-finlandais en mousse comme jamais personne ne l'avait tamponné. Paradoxalement, jamais il n'aurait accomplit profondément une otarie aussi acariâtre et lunatique orchidée. Je pensais à Bernard, ton étonnant scarabée doré, celui qui danse vigoureusement assis la journée sur ses statuettes de carbone Auchan, évidemment ce n'est plus légal ni flexible si on prétend savoir comment ronfler bizarrement.
Or, argent, le métal apeuré homosexuel, ne permet pas d'arriver ensanglanté devant 48 andouillettes enrhumées de trois mexicains autodidactes néo-autodidaxie thoraciques atchic-atchic-atchic ail ail ail.Mais dissimulant son anticonstitutionnelle bible martienne dans sa poubelle rose, Françoise décapuchonna sa capuche visqueusement en postillonnant vulgairement tel un dromadaire furibond, béguéyant instinctivement que l'ascenseur colérique ne crapahute que par la pensée.
J'imagine Albert Einstein promener la pince serrée contre ses enjolivures et danser gaiement la polka affublé d'une perruque dorée et oui. J'admire sa fougue grandissante dans l'espoir qu'Aristote m'asticote le lampion en opérant 18 Pangolins hippies. Cependant Michel oOo-BiGbOsS-oOo, scaphandrier émérite, ne se mouchait jamais avec son pied rabougri dansant la Carioca ; youpi, dit-il, malaxant patiemment son verre de mousse hallucinogène offert par inadvertance au curé translucide et bavant.
Même son tracteur malfaisant, ainsi soit-il, gambadait hétéroclitement dans l'abattoir joyeux. Supposant qu'il flotterait hardument sur cette couche épaisse comme mon engin, graour, Jean-Paul capilotracta vivement ses baluchons, sans équivoque. Saisissant Plaithore par la tête, ballons affriolants volent par dessus cet unijambiste travelo assis sur | |
| | | lokii Trois-pommes embaumé
Nombre de messages : 201 Age : 36 Classe : Xelor Date d'inscription : 08/04/2008
| Sujet: Re: Un jeu con Mer 25 Juin 2008 - 19:41 | |
| Sa petite paille affutée me bidouille la nuque, mais quand Jean-Paul caresse ma cheville, après je découvre que Peugeot anticipe nos ébats hasardeux au point H, lequel ne serait pas vraiment idéal pour saccager vertement mon jardinet, alors que celui qui pourrait le pendre par les omoplates lui renifle très accidentellement Popaul, le singe irascible et pervers décide pour culbuter forcément la voiture de la maitresse sadique de mon facteur Poney qui roule mais n'amasse pas mousse de bière mortuaire.
Il suçait ardemment le moignon turgescent de mon MisterFreeze quand soudain, trois pingouins priapiques égypto-congolais escaladèrent gaillardement l'escalope aux ministres, sans sushi ni whisky après rasage impromptu, alors 1574 Diplodocus hermaphrodites unijambistes crièrent :"DTC", il serra, passionnément dindophile, son porte-bonheur Neo-finlandais en mousse comme jamais personne ne l'avait tamponné. Paradoxalement, jamais il n'aurait accomplit profondément une otarie aussi acariâtre et lunatique orchidée. Je pensais à Bernard, ton étonnant scarabée doré, celui qui danse vigoureusement assis la journée sur ses statuettes de carbone Auchan, évidemment ce n'est plus légal ni flexible si on prétend savoir comment ronfler bizarrement.
Or, argent, le métal apeuré homosexuel, ne permet pas d'arriver ensanglanté devant 48 andouillettes enrhumées de trois mexicains autodidactes néo-autodidaxie thoraciques atchic-atchic-atchic ail ail ail.Mais dissimulant son anticonstitutionnelle bible martienne dans sa poubelle rose, Françoise décapuchonna sa capuche visqueusement en postillonnant vulgairement tel un dromadaire furibond, béguéyant instinctivement que l'ascenseur colérique ne crapahute que par la pensée.
J'imagine Albert Einstein promener la pince serrée contre ses enjolivures et danser gaiement la polka affublé d'une perruque dorée et oui. J'admire sa fougue grandissante dans l'espoir qu'Aristote m'asticote le lampion en opérant 18 Pangolins hippies. Cependant Michel oOo-BiGbOsS-oOo, scaphandrier émérite, ne se mouchait jamais avec son pied rabougri dansant la Carioca ; youpi, dit-il, malaxant patiemment son verre de mousse hallucinogène offert par inadvertance au curé translucide et bavant.
Même son tracteur malfaisant, ainsi soit-il, gambadait hétéroclitement dans l'abattoir joyeux. Supposant qu'il flotterait hardument sur cette couche épaisse comme mon engin, graour, Jean-Paul capilotracta vivement ses baluchons, sans équivoque. Saisissant Plaithore par la tête, ballons affriolants volent par dessus cet unijambiste travelo assis sur son
Loki | |
| | | Shura n1 éninoob
Nombre de messages : 206 Age : 34 Classe : Enicool Date d'inscription : 07/01/2008
| Sujet: Re: Un jeu con Mer 25 Juin 2008 - 21:03 | |
| Sa petite paille affutée me bidouille la nuque, mais quand Jean-Paul caresse ma cheville, après je découvre que Peugeot anticipe nos ébats hasardeux au point H, lequel ne serait pas vraiment idéal pour saccager vertement mon jardinet, alors que celui qui pourrait le pendre par les omoplates lui renifle très accidentellement Popaul, le singe irascible et pervers décide pour culbuter forcément la voiture de la maitresse sadique de mon facteur Poney qui roule mais n'amasse pas mousse de bière mortuaire.
Il suçait ardemment le moignon turgescent de mon MisterFreeze quand soudain, trois pingouins priapiques égypto-congolais escaladèrent gaillardement l'escalope aux ministres, sans sushi ni whisky après rasage impromptu, alors 1574 Diplodocus hermaphrodites unijambistes crièrent :"DTC", il serra, passionnément dindophile, son porte-bonheur Neo-finlandais en mousse comme jamais personne ne l'avait tamponné. Paradoxalement, jamais il n'aurait accomplit profondément une otarie aussi acariâtre et lunatique orchidée. Je pensais à Bernard, ton étonnant scarabée doré, celui qui danse vigoureusement assis la journée sur ses statuettes de carbone Auchan, évidemment ce n'est plus légal ni flexible si on prétend savoir comment ronfler bizarrement.
Or, argent, le métal apeuré homosexuel, ne permet pas d'arriver ensanglanté devant 48 andouillettes enrhumées de trois mexicains autodidactes néo-autodidaxie thoraciques atchic-atchic-atchic ail ail ail.Mais dissimulant son anticonstitutionnelle bible martienne dans sa poubelle rose, Françoise décapuchonna sa capuche visqueusement en postillonnant vulgairement tel un dromadaire furibond, béguéyant instinctivement que l'ascenseur colérique ne crapahute que par la pensée.
J'imagine Albert Einstein promener la pince serrée contre ses enjolivures et danser gaiement la polka affublé d'une perruque dorée et oui. J'admire sa fougue grandissante dans l'espoir qu'Aristote m'asticote le lampion en opérant 18 Pangolins hippies. Cependant Michel oOo-BiGbOsS-oOo, scaphandrier émérite, ne se mouchait jamais avec son pied rabougri dansant la Carioca ; youpi, dit-il, malaxant patiemment son verre de mousse hallucinogène offert par inadvertance au curé translucide et bavant.
Même son tracteur malfaisant, ainsi soit-il, gambadait hétéroclitement dans l'abattoir joyeux. Supposant qu'il flotterait hardument sur cette couche épaisse comme mon engin, graour, Jean-Paul capilotracta vivement ses baluchons, sans équivoque. Saisissant Plaithore par la tête, ballons affriolants volent par dessus cet unijambiste travelo assis sur son travelo | |
| | | memoriam
Nombre de messages : 13 Classe : Cra Date d'inscription : 22/04/2008
| Sujet: Re: Un jeu con Dim 29 Juin 2008 - 15:00 | |
| Sa petite paille affutée me bidouille la nuque, mais quand Jean-Paul caresse ma cheville, après je découvre que Peugeot anticipe nos ébats hasardeux au point H, lequel ne serait pas vraiment idéal pour saccager vertement mon jardinet, alors que celui qui pourrait le pendre par les omoplates lui renifle très accidentellement Popaul, le singe irascible et pervers décide pour culbuter forcément la voiture de la maitresse sadique de mon facteur Poney qui roule mais n'amasse pas mousse de bière mortuaire.
Il suçait ardemment le moignon turgescent de mon MisterFreeze quand soudain, trois pingouins priapiques égypto-congolais escaladèrent gaillardement l'escalope aux ministres, sans sushi ni whisky après rasage impromptu, alors 1574 Diplodocus hermaphrodites unijambistes crièrent :"DTC", il serra, passionnément dindophile, son porte-bonheur Neo-finlandais en mousse comme jamais personne ne l'avait tamponné. Paradoxalement, jamais il n'aurait accomplit profondément une otarie aussi acariâtre et lunatique orchidée. Je pensais à Bernard, ton étonnant scarabée doré, celui qui danse vigoureusement assis la journée sur ses statuettes de carbone Auchan, évidemment ce n'est plus légal ni flexible si on prétend savoir comment ronfler bizarrement.
Or, argent, le métal apeuré homosexuel, ne permet pas d'arriver ensanglanté devant 48 andouillettes enrhumées de trois mexicains autodidactes néo-autodidaxie thoraciques atchic-atchic-atchic ail ail ail.Mais dissimulant son anticonstitutionnelle bible martienne dans sa poubelle rose, Françoise décapuchonna sa capuche visqueusement en postillonnant vulgairement tel un dromadaire furibond, béguéyant instinctivement que l'ascenseur colérique ne crapahute que par la pensée.
J'imagine Albert Einstein promener la pince serrée contre ses enjolivures et danser gaiement la polka affublé d'une perruque dorée et oui. J'admire sa fougue grandissante dans l'espoir qu'Aristote m'asticote le lampion en opérant 18 Pangolins hippies. Cependant Michel oOo-BiGbOsS-oOo, scaphandrier émérite, ne se mouchait jamais avec son pied rabougri dansant la Carioca ; youpi, dit-il, malaxant patiemment son verre de mousse hallucinogène offert par inadvertance au curé translucide et bavant.
Même son tracteur malfaisant, ainsi soit-il, gambadait hétéroclitement dans l'abattoir joyeux. Supposant qu'il flotterait hardument sur cette couche épaisse comme mon engin, graour, Jean-Paul capilotracta vivement ses baluchons, sans équivoque. Saisissant Plaithore par la tête, ballons affriolants volent par dessus cet unijambiste travelo assis sur son travelo de | |
| | | MythSetesh Stoi la mite ! (Secrétaire diplômée)
Nombre de messages : 1749 Classe : pas classe. Date d'inscription : 04/01/2007
| Sujet: Re: Un jeu con Dim 29 Juin 2008 - 23:42 | |
| Sa petite paille affutée me bidouille la nuque, mais quand Jean-Paul caresse ma cheville, après je découvre que Peugeot anticipe nos ébats hasardeux au point H, lequel ne serait pas vraiment idéal pour saccager vertement mon jardinet, alors que celui qui pourrait le pendre par les omoplates lui renifle très accidentellement Popaul, le singe irascible et pervers décide pour culbuter forcément la voiture de la maitresse sadique de mon facteur Poney qui roule mais n'amasse pas mousse de bière mortuaire.
Il suçait ardemment le moignon turgescent de mon MisterFreeze quand soudain, trois pingouins priapiques égypto-congolais escaladèrent gaillardement l'escalope aux ministres, sans sushi ni whisky après rasage impromptu, alors 1574 Diplodocus hermaphrodites unijambistes crièrent :"DTC", il serra, passionnément dindophile, son porte-bonheur Neo-finlandais en mousse comme jamais personne ne l'avait tamponné. Paradoxalement, jamais il n'aurait accomplit profondément une otarie aussi acariâtre et lunatique orchidée. Je pensais à Bernard, ton étonnant scarabée doré, celui qui danse vigoureusement assis la journée sur ses statuettes de carbone Auchan, évidemment ce n'est plus légal ni flexible si on prétend savoir comment ronfler bizarrement.
Or, argent, le métal apeuré homosexuel, ne permet pas d'arriver ensanglanté devant 48 andouillettes enrhumées de trois mexicains autodidactes néo-autodidaxie thoraciques atchic-atchic-atchic ail ail ail.Mais dissimulant son anticonstitutionnelle bible martienne dans sa poubelle rose, Françoise décapuchonna sa capuche visqueusement en postillonnant vulgairement tel un dromadaire furibond, béguéyant instinctivement que l'ascenseur colérique ne crapahute que par la pensée.
J'imagine Albert Einstein promener la pince serrée contre ses enjolivures et danser gaiement la polka affublé d'une perruque dorée et oui. J'admire sa fougue grandissante dans l'espoir qu'Aristote m'asticote le lampion en opérant 18 Pangolins hippies. Cependant Michel oOo-BiGbOsS-oOo, scaphandrier émérite, ne se mouchait jamais avec son pied rabougri dansant la Carioca ; youpi, dit-il, malaxant patiemment son verre de mousse hallucinogène offert par inadvertance au curé translucide et bavant.
Même son tracteur malfaisant, ainsi soit-il, gambadait hétéroclitement dans l'abattoir joyeux. Supposant qu'il flotterait hardument sur cette couche épaisse comme mon engin, graour, Jean-Paul capilotracta vivement ses baluchons, sans équivoque. Saisissant Plaithore par la tête, ballons affriolants volent par dessus cet unijambiste travelo assis sur son travelo de qualité | |
| | | Sylielle
Nombre de messages : 21 Age : 37 Classe : Crâ Date d'inscription : 07/05/2008
| Sujet: Re: Un jeu con Mar 1 Juil 2008 - 12:20 | |
| Sa petite paille affutée me bidouille la nuque, mais quand Jean-Paul caresse ma cheville, après je découvre que Peugeot anticipe nos ébats hasardeux au point H, lequel ne serait pas vraiment idéal pour saccager vertement mon jardinet, alors que celui qui pourrait le pendre par les omoplates lui renifle très accidentellement Popaul, le singe irascible et pervers décide pour culbuter forcément la voiture de la maitresse sadique de mon facteur Poney qui roule mais n'amasse pas mousse de bière mortuaire.
Il suçait ardemment le moignon turgescent de mon MisterFreeze quand soudain, trois pingouins priapiques égypto-congolais escaladèrent gaillardement l'escalope aux ministres, sans sushi ni whisky après rasage impromptu, alors 1574 Diplodocus hermaphrodites unijambistes crièrent :"DTC", il serra, passionnément dindophile, son porte-bonheur Neo-finlandais en mousse comme jamais personne ne l'avait tamponné. Paradoxalement, jamais il n'aurait accomplit profondément une otarie aussi acariâtre et lunatique orchidée. Je pensais à Bernard, ton étonnant scarabée doré, celui qui danse vigoureusement assis la journée sur ses statuettes de carbone Auchan, évidemment ce n'est plus légal ni flexible si on prétend savoir comment ronfler bizarrement.
Or, argent, le métal apeuré homosexuel, ne permet pas d'arriver ensanglanté devant 48 andouillettes enrhumées de trois mexicains autodidactes néo-autodidaxie thoraciques atchic-atchic-atchic ail ail ail.Mais dissimulant son anticonstitutionnelle bible martienne dans sa poubelle rose, Françoise décapuchonna sa capuche visqueusement en postillonnant vulgairement tel un dromadaire furibond, béguéyant instinctivement que l'ascenseur colérique ne crapahute que par la pensée.
J'imagine Albert Einstein promener la pince serrée contre ses enjolivures et danser gaiement la polka affublé d'une perruque dorée et oui. J'admire sa fougue grandissante dans l'espoir qu'Aristote m'asticote le lampion en opérant 18 Pangolins hippies. Cependant Michel oOo-BiGbOsS-oOo, scaphandrier émérite, ne se mouchait jamais avec son pied rabougri dansant la Carioca ; youpi, dit-il, malaxant patiemment son verre de mousse hallucinogène offert par inadvertance au curé translucide et bavant.
Même son tracteur malfaisant, ainsi soit-il, gambadait hétéroclitement dans l'abattoir joyeux. Supposant qu'il flotterait hardument sur cette couche épaisse comme mon engin, graour, Jean-Paul capilotracta vivement ses baluchons, sans équivoque. Saisissant Plaithore par la tête, ballons affriolants volent par dessus cet unijambiste travelo assis sur son travelo de qualité médiocre | |
| | | memoriam
Nombre de messages : 13 Classe : Cra Date d'inscription : 22/04/2008
| Sujet: Re: Un jeu con Mar 1 Juil 2008 - 20:47 | |
| Sa petite paille affutée me bidouille la nuque, mais quand Jean-Paul caresse ma cheville, après je découvre que Peugeot anticipe nos ébats hasardeux au point H, lequel ne serait pas vraiment idéal pour saccager vertement mon jardinet, alors que celui qui pourrait le pendre par les omoplates lui renifle très accidentellement Popaul, le singe irascible et pervers décide pour culbuter forcément la voiture de la maitresse sadique de mon facteur Poney qui roule mais n'amasse pas mousse de bière mortuaire.
Il suçait ardemment le moignon turgescent de mon MisterFreeze quand soudain, trois pingouins priapiques égypto-congolais escaladèrent gaillardement l'escalope aux ministres, sans sushi ni whisky après rasage impromptu, alors 1574 Diplodocus hermaphrodites unijambistes crièrent :"DTC", il serra, passionnément dindophile, son porte-bonheur Neo-finlandais en mousse comme jamais personne ne l'avait tamponné. Paradoxalement, jamais il n'aurait accomplit profondément une otarie aussi acariâtre et lunatique orchidée. Je pensais à Bernard, ton étonnant scarabée doré, celui qui danse vigoureusement assis la journée sur ses statuettes de carbone Auchan, évidemment ce n'est plus légal ni flexible si on prétend savoir comment ronfler bizarrement.
Or, argent, le métal apeuré homosexuel, ne permet pas d'arriver ensanglanté devant 48 andouillettes enrhumées de trois mexicains autodidactes néo-autodidaxie thoraciques atchic-atchic-atchic ail ail ail.Mais dissimulant son anticonstitutionnelle bible martienne dans sa poubelle rose, Françoise décapuchonna sa capuche visqueusement en postillonnant vulgairement tel un dromadaire furibond, béguéyant instinctivement que l'ascenseur colérique ne crapahute que par la pensée.
J'imagine Albert Einstein promener la pince serrée contre ses enjolivures et danser gaiement la polka affublé d'une perruque dorée et oui. J'admire sa fougue grandissante dans l'espoir qu'Aristote m'asticote le lampion en opérant 18 Pangolins hippies. Cependant Michel oOo-BiGbOsS-oOo, scaphandrier émérite, ne se mouchait jamais avec son pied rabougri dansant la Carioca ; youpi, dit-il, malaxant patiemment son verre de mousse hallucinogène offert par inadvertance au curé translucide et bavant.
Même son tracteur malfaisant, ainsi soit-il, gambadait hétéroclitement dans l'abattoir joyeux. Supposant qu'il flotterait hardument sur cette couche épaisse comme mon engin, graour, Jean-Paul capilotracta vivement ses baluchons, sans équivoque. Saisissant Plaithore par la tête, ballons affriolants volent par dessus cet unijambiste travelo assis sur son travelo de qualité médiocre, quand | |
| | | Amla Secrétaire sous le bureau
Nombre de messages : 780 Age : 35 Localisation : Quéqu'part Classe : Osamodas Date d'inscription : 10/03/2007
| Sujet: Re: Un jeu con Dim 30 Nov 2008 - 22:27 | |
| Sa petite paille affutée me bidouille la nuque, mais quand Jean-Paul caresse ma cheville, après je découvre que Peugeot anticipe nos ébats hasardeux au point H, lequel ne serait pas vraiment idéal pour saccager vertement mon jardinet, alors que celui qui pourrait le pendre par les omoplates lui renifle très accidentellement Popaul, le singe irascible et pervers décide pour culbuter forcément la voiture de la maitresse sadique de mon facteur Poney qui roule mais n'amasse pas mousse de bière mortuaire.
Il suçait ardemment le moignon turgescent de mon MisterFreeze quand soudain, trois pingouins priapiques égypto-congolais escaladèrent gaillardement l'escalope aux ministres, sans sushi ni whisky après rasage impromptu, alors 1574 Diplodocus hermaphrodites unijambistes crièrent :"DTC", il serra, passionnément dindophile, son porte-bonheur Neo-finlandais en mousse comme jamais personne ne l'avait tamponné. Paradoxalement, jamais il n'aurait accomplit profondément une otarie aussi acariâtre et lunatique orchidée. Je pensais à Bernard, ton étonnant scarabée doré, celui qui danse vigoureusement assis la journée sur ses statuettes de carbone Auchan, évidemment ce n'est plus légal ni flexible si on prétend savoir comment ronfler bizarrement.
Or, argent, le métal apeuré homosexuel, ne permet pas d'arriver ensanglanté devant 48 andouillettes enrhumées de trois mexicains autodidactes néo-autodidaxie thoraciques atchic-atchic-atchic ail ail ail.Mais dissimulant son anticonstitutionnelle bible martienne dans sa poubelle rose, Françoise décapuchonna sa capuche visqueusement en postillonnant vulgairement tel un dromadaire furibond, béguéyant instinctivement que l'ascenseur colérique ne crapahute que par la pensée.
J'imagine Albert Einstein promener la pince serrée contre ses enjolivures et danser gaiement la polka affublé d'une perruque dorée et oui. J'admire sa fougue grandissante dans l'espoir qu'Aristote m'asticote le lampion en opérant 18 Pangolins hippies. Cependant Michel oOo-BiGbOsS-oOo, scaphandrier émérite, ne se mouchait jamais avec son pied rabougri dansant la Carioca ; youpi, dit-il, malaxant patiemment son verre de mousse hallucinogène offert par inadvertance au curé translucide et bavant.
Même son tracteur malfaisant, ainsi soit-il, gambadait hétéroclitement dans l'abattoir joyeux. Supposant qu'il flotterait hardument sur cette couche épaisse comme mon engin, graour, Jean-Paul capilotracta vivement ses baluchons, sans équivoque. Saisissant Plaithore par la tête, ballons affriolants volent par dessus cet unijambiste travelo assis sur son travelo de qualité médiocre, quand, soudainement | |
| | | Madi-Eni Trousse à pharmacie
Nombre de messages : 65 Age : 30 Classe : Eniripsa Date d'inscription : 19/09/2008
| Sujet: Re: Un jeu con Dim 30 Nov 2008 - 23:11 | |
| Sa petite paille affutée me bidouille la nuque, mais quand Jean-Paul caresse ma cheville, après je découvre que Peugeot anticipe nos ébats hasardeux au point H, lequel ne serait pas vraiment idéal pour saccager vertement mon jardinet, alors que celui qui pourrait le pendre par les omoplates lui renifle très accidentellement Popaul, le singe irascible et pervers décide pour culbuter forcément la voiture de la maitresse sadique de mon facteur Poney qui roule mais n'amasse pas mousse de bière mortuaire.
Il suçait ardemment le moignon turgescent de mon MisterFreeze quand soudain, trois pingouins priapiques égypto-congolais escaladèrent gaillardement l'escalope aux ministres, sans sushi ni whisky après rasage impromptu, alors 1574 Diplodocus hermaphrodites unijambistes crièrent :"DTC", il serra, passionnément dindophile, son porte-bonheur Neo-finlandais en mousse comme jamais personne ne l'avait tamponné. Paradoxalement, jamais il n'aurait accomplit profondément une otarie aussi acariâtre et lunatique orchidée. Je pensais à Bernard, ton étonnant scarabée doré, celui qui danse vigoureusement assis la journée sur ses statuettes de carbone Auchan, évidemment ce n'est plus légal ni flexible si on prétend savoir comment ronfler bizarrement.
Or, argent, le métal apeuré homosexuel, ne permet pas d'arriver ensanglanté devant 48 andouillettes enrhumées de trois mexicains autodidactes néo-autodidaxie thoraciques atchic-atchic-atchic ail ail ail.Mais dissimulant son anticonstitutionnelle bible martienne dans sa poubelle rose, Françoise décapuchonna sa capuche visqueusement en postillonnant vulgairement tel un dromadaire furibond, béguéyant instinctivement que l'ascenseur colérique ne crapahute que par la pensée.
J'imagine Albert Einstein promener la pince serrée contre ses enjolivures et danser gaiement la polka affublé d'une perruque dorée et oui. J'admire sa fougue grandissante dans l'espoir qu'Aristote m'asticote le lampion en opérant 18 Pangolins hippies. Cependant Michel oOo-BiGbOsS-oOo, scaphandrier émérite, ne se mouchait jamais avec son pied rabougri dansant la Carioca ; youpi, dit-il, malaxant patiemment son verre de mousse hallucinogène offert par inadvertance au curé translucide et bavant.
Même son tracteur malfaisant, ainsi soit-il, gambadait hétéroclitement dans l'abattoir joyeux. Supposant qu'il flotterait hardument sur cette couche épaisse comme mon engin, graour, Jean-Paul capilotracta vivement ses baluchons, sans équivoque. Saisissant Plaithore par la tête, ballons affriolants volent par dessus cet unijambiste travelo assis sur son travelo de qualité médiocre, quand, soudainement un | |
| | | MythSetesh Stoi la mite ! (Secrétaire diplômée)
Nombre de messages : 1749 Classe : pas classe. Date d'inscription : 04/01/2007
| Sujet: Re: Un jeu con Lun 1 Déc 2008 - 0:45 | |
| Sa petite paille affutée me bidouille la nuque, mais quand Jean-Paul caresse ma cheville, après je découvre que Peugeot anticipe nos ébats hasardeux au point H, lequel ne serait pas vraiment idéal pour saccager vertement mon jardinet, alors que celui qui pourrait le pendre par les omoplates lui renifle très accidentellement Popaul, le singe irascible et pervers décide pour culbuter forcément la voiture de la maitresse sadique de mon facteur Poney qui roule mais n'amasse pas mousse de bière mortuaire.
Il suçait ardemment le moignon turgescent de mon MisterFreeze quand soudain, trois pingouins priapiques égypto-congolais escaladèrent gaillardement l'escalope aux ministres, sans sushi ni whisky après rasage impromptu, alors 1574 Diplodocus hermaphrodites unijambistes crièrent :"DTC", il serra, passionnément dindophile, son porte-bonheur Neo-finlandais en mousse comme jamais personne ne l'avait tamponné. Paradoxalement, jamais il n'aurait accomplit profondément une otarie aussi acariâtre et lunatique orchidée. Je pensais à Bernard, ton étonnant scarabée doré, celui qui danse vigoureusement assis la journée sur ses statuettes de carbone Auchan, évidemment ce n'est plus légal ni flexible si on prétend savoir comment ronfler bizarrement.
Or, argent, le métal apeuré homosexuel, ne permet pas d'arriver ensanglanté devant 48 andouillettes enrhumées de trois mexicains autodidactes néo-autodidaxie thoraciques atchic-atchic-atchic ail ail ail.Mais dissimulant son anticonstitutionnelle bible martienne dans sa poubelle rose, Françoise décapuchonna sa capuche visqueusement en postillonnant vulgairement tel un dromadaire furibond, béguéyant instinctivement que l'ascenseur colérique ne crapahute que par la pensée.
J'imagine Albert Einstein promener la pince serrée contre ses enjolivures et danser gaiement la polka affublé d'une perruque dorée et oui. J'admire sa fougue grandissante dans l'espoir qu'Aristote m'asticote le lampion en opérant 18 Pangolins hippies. Cependant Michel oOo-BiGbOsS-oOo, scaphandrier émérite, ne se mouchait jamais avec son pied rabougri dansant la Carioca ; youpi, dit-il, malaxant patiemment son verre de mousse hallucinogène offert par inadvertance au curé translucide et bavant.
Même son tracteur malfaisant, ainsi soit-il, gambadait hétéroclitement dans l'abattoir joyeux. Supposant qu'il flotterait hardument sur cette couche épaisse comme mon engin, graour, Jean-Paul capilotracta vivement ses baluchons, sans équivoque. Saisissant Plaithore par la tête, ballons affriolants volent par dessus cet unijambiste travelo assis sur son travelo de qualité médiocre, quand, soudainement un ornithorynque | |
| | | Madi-Eni Trousse à pharmacie
Nombre de messages : 65 Age : 30 Classe : Eniripsa Date d'inscription : 19/09/2008
| Sujet: Re: Un jeu con Lun 1 Déc 2008 - 0:51 | |
| Sa petite paille affutée me bidouille la nuque, mais quand Jean-Paul caresse ma cheville, après je découvre que Peugeot anticipe nos ébats hasardeux au point H, lequel ne serait pas vraiment idéal pour saccager vertement mon jardinet, alors que celui qui pourrait le pendre par les omoplates lui renifle très accidentellement Popaul, le singe irascible et pervers décide pour culbuter forcément la voiture de la maitresse sadique de mon facteur Poney qui roule mais n'amasse pas mousse de bière mortuaire.
Il suçait ardemment le moignon turgescent de mon MisterFreeze quand soudain, trois pingouins priapiques égypto-congolais escaladèrent gaillardement l'escalope aux ministres, sans sushi ni whisky après rasage impromptu, alors 1574 Diplodocus hermaphrodites unijambistes crièrent :"DTC", il serra, passionnément dindophile, son porte-bonheur Neo-finlandais en mousse comme jamais personne ne l'avait tamponné. Paradoxalement, jamais il n'aurait accomplit profondément une otarie aussi acariâtre et lunatique orchidée. Je pensais à Bernard, ton étonnant scarabée doré, celui qui danse vigoureusement assis la journée sur ses statuettes de carbone Auchan, évidemment ce n'est plus légal ni flexible si on prétend savoir comment ronfler bizarrement.
Or, argent, le métal apeuré homosexuel, ne permet pas d'arriver ensanglanté devant 48 andouillettes enrhumées de trois mexicains autodidactes néo-autodidaxie thoraciques atchic-atchic-atchic ail ail ail.Mais dissimulant son anticonstitutionnelle bible martienne dans sa poubelle rose, Françoise décapuchonna sa capuche visqueusement en postillonnant vulgairement tel un dromadaire furibond, béguéyant instinctivement que l'ascenseur colérique ne crapahute que par la pensée.
J'imagine Albert Einstein promener la pince serrée contre ses enjolivures et danser gaiement la polka affublé d'une perruque dorée et oui. J'admire sa fougue grandissante dans l'espoir qu'Aristote m'asticote le lampion en opérant 18 Pangolins hippies. Cependant Michel oOo-BiGbOsS-oOo, scaphandrier émérite, ne se mouchait jamais avec son pied rabougri dansant la Carioca ; youpi, dit-il, malaxant patiemment son verre de mousse hallucinogène offert par inadvertance au curé translucide et bavant.
Même son tracteur malfaisant, ainsi soit-il, gambadait hétéroclitement dans l'abattoir joyeux. Supposant qu'il flotterait hardument sur cette couche épaisse comme mon engin, graour, Jean-Paul capilotracta vivement ses baluchons, sans équivoque. Saisissant Plaithore par la tête, ballons affriolants volent par dessus cet unijambiste travelo assis sur son travelo de qualité médiocre, quand, soudainement un ornithorynque rouge et vert | |
| | | Amla Secrétaire sous le bureau
Nombre de messages : 780 Age : 35 Localisation : Quéqu'part Classe : Osamodas Date d'inscription : 10/03/2007
| Sujet: Re: Un jeu con Lun 1 Déc 2008 - 18:43 | |
| Sa petite paille affutée me bidouille la nuque, mais quand Jean-Paul caresse ma cheville, après je découvre que Peugeot anticipe nos ébats hasardeux au point H, lequel ne serait pas vraiment idéal pour saccager vertement mon jardinet, alors que celui qui pourrait le pendre par les omoplates lui renifle très accidentellement Popaul, le singe irascible et pervers décide pour culbuter forcément la voiture de la maitresse sadique de mon facteur Poney qui roule mais n'amasse pas mousse de bière mortuaire.
Il suçait ardemment le moignon turgescent de mon MisterFreeze quand soudain, trois pingouins priapiques égypto-congolais escaladèrent gaillardement l'escalope aux ministres, sans sushi ni whisky après rasage impromptu, alors 1574 Diplodocus hermaphrodites unijambistes crièrent :"DTC", il serra, passionnément dindophile, son porte-bonheur Neo-finlandais en mousse comme jamais personne ne l'avait tamponné. Paradoxalement, jamais il n'aurait accomplit profondément une otarie aussi acariâtre et lunatique orchidée. Je pensais à Bernard, ton étonnant scarabée doré, celui qui danse vigoureusement assis la journée sur ses statuettes de carbone Auchan, évidemment ce n'est plus légal ni flexible si on prétend savoir comment ronfler bizarrement.
Or, argent, le métal apeuré homosexuel, ne permet pas d'arriver ensanglanté devant 48 andouillettes enrhumées de trois mexicains autodidactes néo-autodidaxie thoraciques atchic-atchic-atchic ail ail ail.Mais dissimulant son anticonstitutionnelle bible martienne dans sa poubelle rose, Françoise décapuchonna sa capuche visqueusement en postillonnant vulgairement tel un dromadaire furibond, béguéyant instinctivement que l'ascenseur colérique ne crapahute que par la pensée.
J'imagine Albert Einstein promener la pince serrée contre ses enjolivures et danser gaiement la polka affublé d'une perruque dorée et oui. J'admire sa fougue grandissante dans l'espoir qu'Aristote m'asticote le lampion en opérant 18 Pangolins hippies. Cependant Michel oOo-BiGbOsS-oOo, scaphandrier émérite, ne se mouchait jamais avec son pied rabougri dansant la Carioca ; youpi, dit-il, malaxant patiemment son verre de mousse hallucinogène offert par inadvertance au curé translucide et bavant.
Même son tracteur malfaisant, ainsi soit-il, gambadait hétéroclitement dans l'abattoir joyeux. Supposant qu'il flotterait hardument sur cette couche épaisse comme mon engin, graour, Jean-Paul capilotracta vivement ses baluchons, sans équivoque. Saisissant Plaithore par la tête, ballons affriolants volent par dessus cet unijambiste travelo assis sur son travelo de qualité médiocre, quand, soudainement un ornithorynque rouge et vert sauta | |
| | | Papy-White Vieux Tromblon
Nombre de messages : 629 Age : 37 Localisation : L'eau qu'à Lisa Sion Classe : Enutroufion de première classe Date d'inscription : 26/08/2007
| Sujet: Re: Un jeu con Lun 1 Déc 2008 - 21:55 | |
| Sa petite paille affutée me bidouille la nuque, mais quand Jean-Paul caresse ma cheville, après je découvre que Peugeot anticipe nos ébats hasardeux au point H, lequel ne serait pas vraiment idéal pour saccager vertement mon jardinet, alors que celui qui pourrait le pendre par les omoplates lui renifle très accidentellement Popaul, le singe irascible et pervers décide pour culbuter forcément la voiture de la maitresse sadique de mon facteur Poney qui roule mais n'amasse pas mousse de bière mortuaire.
Il suçait ardemment le moignon turgescent de mon MisterFreeze quand soudain, trois pingouins priapiques égypto-congolais escaladèrent gaillardement l'escalope aux ministres, sans sushi ni whisky après rasage impromptu, alors 1574 Diplodocus hermaphrodites unijambistes crièrent :"DTC", il serra, passionnément dindophile, son porte-bonheur Neo-finlandais en mousse comme jamais personne ne l'avait tamponné. Paradoxalement, jamais il n'aurait accomplit profondément une otarie aussi acariâtre et lunatique orchidée. Je pensais à Bernard, ton étonnant scarabée doré, celui qui danse vigoureusement assis la journée sur ses statuettes de carbone Auchan, évidemment ce n'est plus légal ni flexible si on prétend savoir comment ronfler bizarrement.
Or, argent, le métal apeuré homosexuel, ne permet pas d'arriver ensanglanté devant 48 andouillettes enrhumées de trois mexicains autodidactes néo-autodidaxie thoraciques atchic-atchic-atchic ail ail ail.Mais dissimulant son anticonstitutionnelle bible martienne dans sa poubelle rose, Françoise décapuchonna sa capuche visqueusement en postillonnant vulgairement tel un dromadaire furibond, béguéyant instinctivement que l'ascenseur colérique ne crapahute que par la pensée.
J'imagine Albert Einstein promener la pince serrée contre ses enjolivures et danser gaiement la polka affublé d'une perruque dorée et oui. J'admire sa fougue grandissante dans l'espoir qu'Aristote m'asticote le lampion en opérant 18 Pangolins hippies. Cependant Michel oOo-BiGbOsS-oOo, scaphandrier émérite, ne se mouchait jamais avec son pied rabougri dansant la Carioca ; youpi, dit-il, malaxant patiemment son verre de mousse hallucinogène offert par inadvertance au curé translucide et bavant.
Même son tracteur malfaisant, ainsi soit-il, gambadait hétéroclitement dans l'abattoir joyeux. Supposant qu'il flotterait hardument sur cette couche épaisse comme mon engin, graour, Jean-Paul capilotracta vivement ses baluchons, sans équivoque. Saisissant Plaithore par la tête, ballons affriolants volent par dessus cet unijambiste travelo assis sur son travelo de qualité médiocre, quand, soudainement un ornithorynque rouge et vert sauta unilatéralement | |
| | | Madi-Eni Trousse à pharmacie
Nombre de messages : 65 Age : 30 Classe : Eniripsa Date d'inscription : 19/09/2008
| Sujet: Re: Un jeu con Mer 3 Déc 2008 - 23:30 | |
| Sa petite paille affutée me bidouille la nuque, mais quand Jean-Paul caresse ma cheville, après je découvre que Peugeot anticipe nos ébats hasardeux au point H, lequel ne serait pas vraiment idéal pour saccager vertement mon jardinet, alors que celui qui pourrait le pendre par les omoplates lui renifle très accidentellement Popaul, le singe irascible et pervers décide pour culbuter forcément la voiture de la maitresse sadique de mon facteur Poney qui roule mais n'amasse pas mousse de bière mortuaire.
Il suçait ardemment le moignon turgescent de mon MisterFreeze quand soudain, trois pingouins priapiques égypto-congolais escaladèrent gaillardement l'escalope aux ministres, sans sushi ni whisky après rasage impromptu, alors 1574 Diplodocus hermaphrodites unijambistes crièrent :"DTC", il serra, passionnément dindophile, son porte-bonheur Neo-finlandais en mousse comme jamais personne ne l'avait tamponné. Paradoxalement, jamais il n'aurait accomplit profondément une otarie aussi acariâtre et lunatique orchidée. Je pensais à Bernard, ton étonnant scarabée doré, celui qui danse vigoureusement assis la journée sur ses statuettes de carbone Auchan, évidemment ce n'est plus légal ni flexible si on prétend savoir comment ronfler bizarrement.
Or, argent, le métal apeuré homosexuel, ne permet pas d'arriver ensanglanté devant 48 andouillettes enrhumées de trois mexicains autodidactes néo-autodidaxie thoraciques atchic-atchic-atchic ail ail ail.Mais dissimulant son anticonstitutionnelle bible martienne dans sa poubelle rose, Françoise décapuchonna sa capuche visqueusement en postillonnant vulgairement tel un dromadaire furibond, béguéyant instinctivement que l'ascenseur colérique ne crapahute que par la pensée.
J'imagine Albert Einstein promener la pince serrée contre ses enjolivures et danser gaiement la polka affublé d'une perruque dorée et oui. J'admire sa fougue grandissante dans l'espoir qu'Aristote m'asticote le lampion en opérant 18 Pangolins hippies. Cependant Michel oOo-BiGbOsS-oOo, scaphandrier émérite, ne se mouchait jamais avec son pied rabougri dansant la Carioca ; youpi, dit-il, malaxant patiemment son verre de mousse hallucinogène offert par inadvertance au curé translucide et bavant.
Même son tracteur malfaisant, ainsi soit-il, gambadait hétéroclitement dans l'abattoir joyeux. Supposant qu'il flotterait hardument sur cette couche épaisse comme mon engin, graour, Jean-Paul capilotracta vivement ses baluchons, sans équivoque. Saisissant Plaithore par la tête, ballons affriolants volent par dessus cet unijambiste travelo assis sur son travelo de qualité médiocre, quand, soudainement un ornithorynque rouge et vert sauta unilatéralement devant | |
| | | MythSetesh Stoi la mite ! (Secrétaire diplômée)
Nombre de messages : 1749 Classe : pas classe. Date d'inscription : 04/01/2007
| Sujet: Re: Un jeu con Jeu 4 Déc 2008 - 2:09 | |
| Sa petite paille affutée me bidouille la nuque, mais quand Jean-Paul caresse ma cheville, après je découvre que Peugeot anticipe nos ébats hasardeux au point H, lequel ne serait pas vraiment idéal pour saccager vertement mon jardinet, alors que celui qui pourrait le pendre par les omoplates lui renifle très accidentellement Popaul, le singe irascible et pervers décide pour culbuter forcément la voiture de la maitresse sadique de mon facteur Poney qui roule mais n'amasse pas mousse de bière mortuaire.
Il suçait ardemment le moignon turgescent de mon MisterFreeze quand soudain, trois pingouins priapiques égypto-congolais escaladèrent gaillardement l'escalope aux ministres, sans sushi ni whisky après rasage impromptu, alors 1574 Diplodocus hermaphrodites unijambistes crièrent :"DTC", il serra, passionnément dindophile, son porte-bonheur Neo-finlandais en mousse comme jamais personne ne l'avait tamponné. Paradoxalement, jamais il n'aurait accomplit profondément une otarie aussi acariâtre et lunatique orchidée. Je pensais à Bernard, ton étonnant scarabée doré, celui qui danse vigoureusement assis la journée sur ses statuettes de carbone Auchan, évidemment ce n'est plus légal ni flexible si on prétend savoir comment ronfler bizarrement.
Or, argent, le métal apeuré homosexuel, ne permet pas d'arriver ensanglanté devant 48 andouillettes enrhumées de trois mexicains autodidactes néo-autodidaxie thoraciques atchic-atchic-atchic ail ail ail.Mais dissimulant son anticonstitutionnelle bible martienne dans sa poubelle rose, Françoise décapuchonna sa capuche visqueusement en postillonnant vulgairement tel un dromadaire furibond, béguéyant instinctivement que l'ascenseur colérique ne crapahute que par la pensée.
J'imagine Albert Einstein promener la pince serrée contre ses enjolivures et danser gaiement la polka affublé d'une perruque dorée et oui. J'admire sa fougue grandissante dans l'espoir qu'Aristote m'asticote le lampion en opérant 18 Pangolins hippies. Cependant Michel oOo-BiGbOsS-oOo, scaphandrier émérite, ne se mouchait jamais avec son pied rabougri dansant la Carioca ; youpi, dit-il, malaxant patiemment son verre de mousse hallucinogène offert par inadvertance au curé translucide et bavant.
Même son tracteur malfaisant, ainsi soit-il, gambadait hétéroclitement dans l'abattoir joyeux. Supposant qu'il flotterait hardument sur cette couche épaisse comme mon engin, graour, Jean-Paul capilotracta vivement ses baluchons, sans équivoque. Saisissant Plaithore par la tête, ballons affriolants volent par dessus cet unijambiste travelo assis sur son travelo de qualité médiocre, quand, soudainement un ornithorynque rouge et vert sauta unilatéralement devant, derrière | |
| | | Aera-Divinity
Nombre de messages : 94 Age : 28 Localisation : Ici ou ailleurs... Classe : Swam ! Date d'inscription : 10/01/2009
| Sujet: Re: Un jeu con Lun 26 Jan 2009 - 21:22 | |
| Sa petite paille affutée me bidouille la nuque, mais quand Jean-Paul caresse ma cheville, après je découvre que Peugeot anticipe nos ébats hasardeux au point H, lequel ne serait pas vraiment idéal pour saccager vertement mon jardinet, alors que celui qui pourrait le pendre par les omoplates lui renifle très accidentellement Popaul, le singe irascible et pervers décide pour culbuter forcément la voiture de la maitresse sadique de mon facteur Poney qui roule mais n'amasse pas mousse de bière mortuaire.
Il suçait ardemment le moignon turgescent de mon MisterFreeze quand soudain, trois pingouins priapiques égypto-congolais escaladèrent gaillardement l'escalope aux ministres, sans sushi ni whisky après rasage impromptu, alors 1574 Diplodocus hermaphrodites unijambistes crièrent :"DTC", il serra, passionnément dindophile, son porte-bonheur Neo-finlandais en mousse comme jamais personne ne l'avait tamponné. Paradoxalement, jamais il n'aurait accomplit profondément une otarie aussi acariâtre et lunatique orchidée. Je pensais à Bernard, ton étonnant scarabée doré, celui qui danse vigoureusement assis la journée sur ses statuettes de carbone Auchan, évidemment ce n'est plus légal ni flexible si on prétend savoir comment ronfler bizarrement.
Or, argent, le métal apeuré homosexuel, ne permet pas d'arriver ensanglanté devant 48 andouillettes enrhumées de trois mexicains autodidactes néo-autodidaxie thoraciques atchic-atchic-atchic ail ail ail.Mais dissimulant son anticonstitutionnelle bible martienne dans sa poubelle rose, Françoise décapuchonna sa capuche visqueusement en postillonnant vulgairement tel un dromadaire furibond, béguéyant instinctivement que l'ascenseur colérique ne crapahute que par la pensée.
J'imagine Albert Einstein promener la pince serrée contre ses enjolivures et danser gaiement la polka affublé d'une perruque dorée et oui. J'admire sa fougue grandissante dans l'espoir qu'Aristote m'asticote le lampion en opérant 18 Pangolins hippies. Cependant Michel oOo-BiGbOsS-oOo, scaphandrier émérite, ne se mouchait jamais avec son pied rabougri dansant la Carioca ; youpi, dit-il, malaxant patiemment son verre de mousse hallucinogène offert par inadvertance au curé translucide et bavant.
Même son tracteur malfaisant, ainsi soit-il, gambadait hétéroclitement dans l'abattoir joyeux. Supposant qu'il flotterait hardument sur cette couche épaisse comme mon engin, graour, Jean-Paul capilotracta vivement ses baluchons, sans équivoque. Saisissant Plaithore par la tête, ballons affriolants volent par dessus cet unijambiste travelo assis sur son travelo de qualité médiocre, quand, soudainement un ornithorynque rouge et vert sauta unilatéralement devant, derrière, sur les côtés
Ouai bon 3 mots OK mais c'est pour relancer^^ | |
| | | Ventilette
Nombre de messages : 22 Age : 33 Classe : Crâ Date d'inscription : 18/01/2009
| Sujet: Re: Un jeu con Jeu 29 Jan 2009 - 1:15 | |
| Sa petite paille affutée me bidouille la nuque, mais quand Jean-Paul caresse ma cheville, après je découvre que Peugeot anticipe nos ébats hasardeux au point H, lequel ne serait pas vraiment idéal pour saccager vertement mon jardinet, alors que celui qui pourrait le pendre par les omoplates lui renifle très accidentellement Popaul, le singe irascible et pervers décide pour culbuter forcément la voiture de la maitresse sadique de mon facteur Poney qui roule mais n'amasse pas mousse de bière mortuaire.
Il suçait ardemment le moignon turgescent de mon MisterFreeze quand soudain, trois pingouins priapiques égypto-congolais escaladèrent gaillardement l'escalope aux ministres, sans sushi ni whisky après rasage impromptu, alors 1574 Diplodocus hermaphrodites unijambistes crièrent :"DTC", il serra, passionnément dindophile, son porte-bonheur Neo-finlandais en mousse comme jamais personne ne l'avait tamponné. Paradoxalement, jamais il n'aurait accomplit profondément une otarie aussi acariâtre et lunatique orchidée. Je pensais à Bernard, ton étonnant scarabée doré, celui qui danse vigoureusement assis la journée sur ses statuettes de carbone Auchan, évidemment ce n'est plus légal ni flexible si on prétend savoir comment ronfler bizarrement.
Or, argent, le métal apeuré homosexuel, ne permet pas d'arriver ensanglanté devant 48 andouillettes enrhumées de trois mexicains autodidactes néo-autodidaxie thoraciques atchic-atchic-atchic ail ail ail.Mais dissimulant son anticonstitutionnelle bible martienne dans sa poubelle rose, Françoise décapuchonna sa capuche visqueusement en postillonnant vulgairement tel un dromadaire furibond, béguéyant instinctivement que l'ascenseur colérique ne crapahute que par la pensée.
J'imagine Albert Einstein promener la pince serrée contre ses enjolivures et danser gaiement la polka affublé d'une perruque dorée et oui. J'admire sa fougue grandissante dans l'espoir qu'Aristote m'asticote le lampion en opérant 18 Pangolins hippies. Cependant Michel oOo-BiGbOsS-oOo, scaphandrier émérite, ne se mouchait jamais avec son pied rabougri dansant la Carioca ; youpi, dit-il, malaxant patiemment son verre de mousse hallucinogène offert par inadvertance au curé translucide et bavant.
Même son tracteur malfaisant, ainsi soit-il, gambadait hétéroclitement dans l'abattoir joyeux. Supposant qu'il flotterait hardument sur cette couche épaisse comme mon engin, graour, Jean-Paul capilotracta vivement ses baluchons, sans équivoque. Saisissant Plaithore par la tête, ballons affriolants volent par dessus cet unijambiste travelo assis sur son travelo de qualité médiocre, quand, soudainement un ornithorynque rouge et vert sauta unilatéralement devant, derrière, sur les côtés et
vraiment débile comme jeu xD, on finit au moins la phrase, c'est pas bien de laisser quelque chose de pas terminé ! | |
| | | MythSetesh Stoi la mite ! (Secrétaire diplômée)
Nombre de messages : 1749 Classe : pas classe. Date d'inscription : 04/01/2007
| Sujet: Re: Un jeu con Jeu 29 Jan 2009 - 1:25 | |
| Sa petite paille affutée me bidouille la nuque, mais quand Jean-Paul caresse ma cheville, après je découvre que Peugeot anticipe nos ébats hasardeux au point H, lequel ne serait pas vraiment idéal pour saccager vertement mon jardinet, alors que celui qui pourrait le pendre par les omoplates lui renifle très accidentellement Popaul, le singe irascible et pervers décide pour culbuter forcément la voiture de la maitresse sadique de mon facteur Poney qui roule mais n'amasse pas mousse de bière mortuaire.
Il suçait ardemment le moignon turgescent de mon MisterFreeze quand soudain, trois pingouins priapiques égypto-congolais escaladèrent gaillardement l'escalope aux ministres, sans sushi ni whisky après rasage impromptu, alors 1574 Diplodocus hermaphrodites unijambistes crièrent :"DTC", il serra, passionnément dindophile, son porte-bonheur Neo-finlandais en mousse comme jamais personne ne l'avait tamponné. Paradoxalement, jamais il n'aurait accomplit profondément une otarie aussi acariâtre et lunatique orchidée. Je pensais à Bernard, ton étonnant scarabée doré, celui qui danse vigoureusement assis la journée sur ses statuettes de carbone Auchan, évidemment ce n'est plus légal ni flexible si on prétend savoir comment ronfler bizarrement.
Or, argent, le métal apeuré homosexuel, ne permet pas d'arriver ensanglanté devant 48 andouillettes enrhumées de trois mexicains autodidactes néo-autodidaxie thoraciques atchic-atchic-atchic ail ail ail.Mais dissimulant son anticonstitutionnelle bible martienne dans sa poubelle rose, Françoise décapuchonna sa capuche visqueusement en postillonnant vulgairement tel un dromadaire furibond, béguéyant instinctivement que l'ascenseur colérique ne crapahute que par la pensée.
J'imagine Albert Einstein promener la pince serrée contre ses enjolivures et danser gaiement la polka affublé d'une perruque dorée et oui. J'admire sa fougue grandissante dans l'espoir qu'Aristote m'asticote le lampion en opérant 18 Pangolins hippies. Cependant Michel oOo-BiGbOsS-oOo, scaphandrier émérite, ne se mouchait jamais avec son pied rabougri dansant la Carioca ; youpi, dit-il, malaxant patiemment son verre de mousse hallucinogène offert par inadvertance au curé translucide et bavant.
Même son tracteur malfaisant, ainsi soit-il, gambadait hétéroclitement dans l'abattoir joyeux. Supposant qu'il flotterait hardument sur cette couche épaisse comme mon engin, graour, Jean-Paul capilotracta vivement ses baluchons, sans équivoque. Saisissant Plaithore par la tête, ballons affriolants volent par dessus cet unijambiste travelo assis sur son travelo de qualité médiocre, quand, soudainement un ornithorynque rouge et vert sauta unilatéralement devant, derrière, sur les côtés et alternativement | |
| | | Aera-Divinity
Nombre de messages : 94 Age : 28 Localisation : Ici ou ailleurs... Classe : Swam ! Date d'inscription : 10/01/2009
| Sujet: Re: Un jeu con Jeu 29 Jan 2009 - 21:19 | |
| Sa petite paille affutée me bidouille la nuque, mais quand Jean-Paul caresse ma cheville, après je découvre que Peugeot anticipe nos ébats hasardeux au point H, lequel ne serait pas vraiment idéal pour saccager vertement mon jardinet, alors que celui qui pourrait le pendre par les omoplates lui renifle très accidentellement Popaul, le singe irascible et pervers décide pour culbuter forcément la voiture de la maitresse sadique de mon facteur Poney qui roule mais n'amasse pas mousse de bière mortuaire.
Il suçait ardemment le moignon turgescent de mon MisterFreeze quand soudain, trois pingouins priapiques égypto-congolais escaladèrent gaillardement l'escalope aux ministres, sans sushi ni whisky après rasage impromptu, alors 1574 Diplodocus hermaphrodites unijambistes crièrent :"DTC", il serra, passionnément dindophile, son porte-bonheur Neo-finlandais en mousse comme jamais personne ne l'avait tamponné. Paradoxalement, jamais il n'aurait accomplit profondément une otarie aussi acariâtre et lunatique orchidée. Je pensais à Bernard, ton étonnant scarabée doré, celui qui danse vigoureusement assis la journée sur ses statuettes de carbone Auchan, évidemment ce n'est plus légal ni flexible si on prétend savoir comment ronfler bizarrement.
Or, argent, le métal apeuré homosexuel, ne permet pas d'arriver ensanglanté devant 48 andouillettes enrhumées de trois mexicains autodidactes néo-autodidaxie thoraciques atchic-atchic-atchic ail ail ail.Mais dissimulant son anticonstitutionnelle bible martienne dans sa poubelle rose, Françoise décapuchonna sa capuche visqueusement en postillonnant vulgairement tel un dromadaire furibond, béguéyant instinctivement que l'ascenseur colérique ne crapahute que par la pensée.
J'imagine Albert Einstein promener la pince serrée contre ses enjolivures et danser gaiement la polka affublé d'une perruque dorée et oui. J'admire sa fougue grandissante dans l'espoir qu'Aristote m'asticote le lampion en opérant 18 Pangolins hippies. Cependant Michel oOo-BiGbOsS-oOo, scaphandrier émérite, ne se mouchait jamais avec son pied rabougri dansant la Carioca ; youpi, dit-il, malaxant patiemment son verre de mousse hallucinogène offert par inadvertance au curé translucide et bavant.
Même son tracteur malfaisant, ainsi soit-il, gambadait hétéroclitement dans l'abattoir joyeux. Supposant qu'il flotterait hardument sur cette couche épaisse comme mon engin, graour, Jean-Paul capilotracta vivement ses baluchons, sans équivoque. Saisissant Plaithore par la tête, ballons affriolants volent par dessus cet unijambiste travelo assis sur son travelo de qualité médiocre, quand, soudainement un ornithorynque rouge et vert sauta unilatéralement devant, derrière, sur les côtés et alternativement parfois | |
| | | Papy-White Vieux Tromblon
Nombre de messages : 629 Age : 37 Localisation : L'eau qu'à Lisa Sion Classe : Enutroufion de première classe Date d'inscription : 26/08/2007
| Sujet: Re: Un jeu con Jeu 29 Jan 2009 - 22:05 | |
| Sa petite paille affutée me bidouille la nuque, mais quand Jean-Paul caresse ma cheville, après je découvre que Peugeot anticipe nos ébats hasardeux au point H, lequel ne serait pas vraiment idéal pour saccager vertement mon jardinet, alors que celui qui pourrait le pendre par les omoplates lui renifle très accidentellement Popaul, le singe irascible et pervers décide pour culbuter forcément la voiture de la maitresse sadique de mon facteur Poney qui roule mais n'amasse pas mousse de bière mortuaire.
Il suçait ardemment le moignon turgescent de mon MisterFreeze quand soudain, trois pingouins priapiques égypto-congolais escaladèrent gaillardement l'escalope aux ministres, sans sushi ni whisky après rasage impromptu, alors 1574 Diplodocus hermaphrodites unijambistes crièrent :"DTC", il serra, passionnément dindophile, son porte-bonheur Neo-finlandais en mousse comme jamais personne ne l'avait tamponné. Paradoxalement, jamais il n'aurait accomplit profondément une otarie aussi acariâtre et lunatique orchidée. Je pensais à Bernard, ton étonnant scarabée doré, celui qui danse vigoureusement assis la journée sur ses statuettes de carbone Auchan, évidemment ce n'est plus légal ni flexible si on prétend savoir comment ronfler bizarrement.
Or, argent, le métal apeuré homosexuel, ne permet pas d'arriver ensanglanté devant 48 andouillettes enrhumées de trois mexicains autodidactes néo-autodidaxie thoraciques atchic-atchic-atchic ail ail ail.Mais dissimulant son anticonstitutionnelle bible martienne dans sa poubelle rose, Françoise décapuchonna sa capuche visqueusement en postillonnant vulgairement tel un dromadaire furibond, béguéyant instinctivement que l'ascenseur colérique ne crapahute que par la pensée.
J'imagine Albert Einstein promener la pince serrée contre ses enjolivures et danser gaiement la polka affublé d'une perruque dorée et oui. J'admire sa fougue grandissante dans l'espoir qu'Aristote m'asticote le lampion en opérant 18 Pangolins hippies. Cependant Michel oOo-BiGbOsS-oOo, scaphandrier émérite, ne se mouchait jamais avec son pied rabougri dansant la Carioca ; youpi, dit-il, malaxant patiemment son verre de mousse hallucinogène offert par inadvertance au curé translucide et bavant.
Même son tracteur malfaisant, ainsi soit-il, gambadait hétéroclitement dans l'abattoir joyeux. Supposant qu'il flotterait hardument sur cette couche épaisse comme mon engin, graour, Jean-Paul capilotracta vivement ses baluchons, sans équivoque. Saisissant Plaithore par la tête, ballons affriolants volent par dessus cet unijambiste travelo assis sur son travelo de qualité médiocre, quand, soudainement un ornithorynque rouge et vert sauta unilatéralement devant, derrière, sur les côtés et alternativement parfois dessus. | |
| | | Aera-Divinity
Nombre de messages : 94 Age : 28 Localisation : Ici ou ailleurs... Classe : Swam ! Date d'inscription : 10/01/2009
| Sujet: Re: Un jeu con Mar 3 Fév 2009 - 10:30 | |
| Sa petite paille affutée me bidouille la nuque, mais quand Jean-Paul caresse ma cheville, après je découvre que Peugeot anticipe nos ébats hasardeux au point H, lequel ne serait pas vraiment idéal pour saccager vertement mon jardinet, alors que celui qui pourrait le pendre par les omoplates lui renifle très accidentellement Popaul, le singe irascible et pervers décidé pour culbuter forcément la voiture de la maitresse sadique de mon facteur Poney qui roule mais n'amasse pas mousse de bière mortuaire.
Il suçait ardemment le moignon turgescent de mon MisterFreeze quand soudain, trois pingouins priapiques égypto-congolais escaladèrent gaillardement l'escalope aux ministres, sans sushi ni whisky après rasage impromptu, alors 1574 Diplodocus hermaphrodites unijambistes crièrent :"DTC", il serra, passionnément dindophile, son porte-bonheur Neo-finlandais en mousse comme jamais personne ne l'avait tamponné. Paradoxalement, jamais il n'aurait accomplit profondément une otarie aussi acariâtre et lunatique orchidée. Je pensais à Bernard, ton étonnant scarabée doré, celui qui danse vigoureusement assis la journée sur ses statuettes de carbone Auchan, évidemment ce n'est plus légal ni flexible si on prétend savoir comment ronfler bizarrement.
Or, argent, le métal apeuré homosexuel, ne permet pas d'arriver ensanglanté devant 48 andouillettes enrhumées de trois mexicains autodidactes néo-autodidaxie thoraciques atchic-atchic-atchic ail ail ail.Mais dissimulant son anticonstitutionnelle bible martienne dans sa poubelle rose, Françoise décapuchonna sa capuche visqueusement en postillonnant vulgairement tel un dromadaire furibond, béguéyant instinctivement que l'ascenseur colérique ne crapahute que par la pensée.
J'imagine Albert Einstein promener la pince serrée contre ses enjolivures et danser gaiement la polka affublé d'une perruque dorée et oui. J'admire sa fougue grandissante dans l'espoir qu'Aristote m'asticote le lampion en opérant 18 Pangolins hippies. Cependant Michel oOo-BiGbOsS-oOo, scaphandrier émérite, ne se mouchait jamais avec son pied rabougri dansant la Carioca ; youpi, dit-il, malaxant patiemment son verre de mousse hallucinogène offert par inadvertance au curé translucide et bavant.
Même son tracteur malfaisant, ainsi soit-il, gambadait hétéroclitement dans l'abattoir joyeux. Supposant qu'il flotterait hardument sur cette couche épaisse comme mon engin, graour, Jean-Paul capilotracta vivement ses baluchons, sans équivoque. Saisissant Plaithore par la tête, ballons affriolants volent par dessus cet unijambiste travelo assis sur son travelo de qualité médiocre, quand, soudainement un ornithorynque rouge et vert sauta unilatéralement devant, derrière, sur les côtés et alternativement parfois dessus. Quand | |
| | | lokii Trois-pommes embaumé
Nombre de messages : 201 Age : 36 Classe : Xelor Date d'inscription : 08/04/2008
| Sujet: Re: Un jeu con Jeu 5 Fév 2009 - 0:45 | |
| Sa petite paille affutée me bidouille la nuque, mais quand Jean-Paul caresse ma cheville, après je découvre que Peugeot anticipe nos ébats hasardeux au point H, lequel ne serait pas vraiment idéal pour saccager vertement mon jardinet, alors que celui qui pourrait le pendre par les omoplates lui renifle très accidentellement Popaul, le singe irascible et pervers décidé pour culbuter forcément la voiture de la maitresse sadique de mon facteur Poney qui roule mais n'amasse pas mousse de bière mortuaire.
Il suçait ardemment le moignon turgescent de mon MisterFreeze quand soudain, trois pingouins priapiques égypto-congolais escaladèrent gaillardement l'escalope aux ministres, sans sushi ni whisky après rasage impromptu, alors 1574 Diplodocus hermaphrodites unijambistes crièrent :"DTC", il serra, passionnément dindophile, son porte-bonheur Neo-finlandais en mousse comme jamais personne ne l'avait tamponné. Paradoxalement, jamais il n'aurait accomplit profondément une otarie aussi acariâtre et lunatique orchidée. Je pensais à Bernard, ton étonnant scarabée doré, celui qui danse vigoureusement assis la journée sur ses statuettes de carbone Auchan, évidemment ce n'est plus légal ni flexible si on prétend savoir comment ronfler bizarrement.
Or, argent, le métal apeuré homosexuel, ne permet pas d'arriver ensanglanté devant 48 andouillettes enrhumées de trois mexicains autodidactes néo-autodidaxie thoraciques atchic-atchic-atchic ail ail ail.Mais dissimulant son anticonstitutionnelle bible martienne dans sa poubelle rose, Françoise décapuchonna sa capuche visqueusement en postillonnant vulgairement tel un dromadaire furibond, béguéyant instinctivement que l'ascenseur colérique ne crapahute que par la pensée.
J'imagine Albert Einstein promener la pince serrée contre ses enjolivures et danser gaiement la polka affublé d'une perruque dorée et oui. J'admire sa fougue grandissante dans l'espoir qu'Aristote m'asticote le lampion en opérant 18 Pangolins hippies. Cependant Michel oOo-BiGbOsS-oOo, scaphandrier émérite, ne se mouchait jamais avec son pied rabougri dansant la Carioca ; youpi, dit-il, malaxant patiemment son verre de mousse hallucinogène offert par inadvertance au curé translucide et bavant.
Même son tracteur malfaisant, ainsi soit-il, gambadait hétéroclitement dans l'abattoir joyeux. Supposant qu'il flotterait hardument sur cette couche épaisse comme mon engin, graour, Jean-Paul capilotracta vivement ses baluchons, sans équivoque. Saisissant Plaithore par la tête, ballons affriolants volent par dessus cet unijambiste travelo assis sur son travelo de qualité médiocre, quand, soudainement un ornithorynque rouge et vert sauta unilatéralement devant, derrière, sur les côtés et alternativement parfois dessus. Quand tout
( Aloha les Moyos, ça faisait un moment que j'étais pas passé par là, j'espère que vous allez tous bien et tout et tout enfin voilà^^ J'vous fais des bisouilles!!!! )
Loki | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Un jeu con | |
| |
| | | | Un jeu con | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|