Un peu de RolePlay, diable !

Un système tout simple pour faire un peu de jdr...

En bref je plante un décor ( dofusien bien entendu... )... Vous jouez chacun un rôle ( que vous annoncez lors de votre 1ere allocution... ) correspondant à l'univers. Une sorte de "sim's" en plein milieu du monde majestueux de dofus x).

Alors voili voilou....

Par cette matinée d'été, pas une feuille ne frémissait. Il régnait un calme plat dans cette petite forêt sauvage... Pourtant la nature s'épanouissait et les sangliers sauvages gambadaient joyeusement dès les premières heures de l'aube... Mais ce matin fut diférent...
A l'orée du bois, une silouhette se dessinait...

Par cette matinée d'été, pas une feuille ne frémissait. Il régnait un calme plat dans cette petite forêt sauvage... Pourtant la nature s'épanouissait et les sangliers sauvages gambadaient joyeusement dès les premières heures de l'aube... Mais ce matin fut diférent...
A l'orée du bois, une silouhette se dessinait...Il s'agissait d'une grande damoiselle au regard un peu perdu. Elle déambulait sur le chemin de pierres en regardant, étonnée, les alentours. Dans sa main, un couteau ensanglantée. On aurait pu la suivre grâce aux gouttes de sans qui jonchaient le chemin, mais le jour se levaitet la populace s'éveillai à peine.
Depuis plusieurs heures déjà, on pouvait entendre, à l'orée de la forêt, un faible sifflement, caractéristique d'une flèche tirée avec assurance, bien souvent accompagné du bruit mat du choc entre le fer et le bois . C'était là l'entrainement matinal d'un jeune disciple de la déesse Crâ, ses cheveux étaient comme faits de blés dorés, et ses yeux de l'ecorce du plus vieux des chênes mous. C'est alors que, tirant une flèche de son carquois, il entendit une grande clameur venant du village, il décida de mettre un terme à sa prière pour voir ce qui pouvait bien agiter les villageois à une heure si matinale

Par cette matinée d'été, pas une feuille ne frémissait. Il régnait un calme plat dans cette petite forêt sauvage... Pourtant la nature s'épanouissait et les sangliers sauvages gambadaient joyeusement dès les premières heures de l'aube... Mais ce matin fut diférent...
A l'orée du bois, une silouhette se dessinait...Il s'agissait d'une grande damoiselle au regard un peu perdu. Elle déambulait sur le chemin de pierres en regardant, étonnée, les alentours. Dans sa main, un couteau ensanglantée. On aurait pu la suivre grâce aux gouttes de sang qui jonchaient le chemin, mais le jour se levait et la populace s'éveillait à peine.
Depuis plusieurs heures déjà, on pouvait entendre, à l'orée de la forêt, un faible sifflement, caractéristique d'une flèche tirée avec assurance, bien souvent accompagné du bruit mat du choc entre le fer et le bois. C'était là l'entrainement matinal d'un jeune disciple de la déesse Crâ, ses cheveux étaient comme faits de blés dorés, et ses yeux de l'écorce du plus vieux des chênes mous. C'est alors que, tirant une flèche de son carquois, il entendit une grande clameur venant du village, il décida de mettre un terme à sa prière pour voir ce qui pouvait bien agiter les villageois à une heure si matinale
Une jeune fille aux jambes nues déboula alors devant lui en se tenant la tête. "Pas les oreilles! pas les oreilles!" implorait-elle à la foule furieuse qui était sur ses talons. Elle bouscula l'archer dans sa fuite, et se rua dans les fourrés, zig-zaga (orth? :/) entre les arbres, se retournant parfois vers ses poursuivants en faisant des moulinets avec son épée. Elle la rangeait bien vite en voyant le peu d'effet que le morceau de métal luisant produisait devant les paysans en colère. Son salut survint de derrière un arbre. Elle percuta de plein fouet la femme au couteau, et toutes deux tombèrent à la renverse dans la poussière. Durant une longue seconde de reflexion les yeux de la chevalière en fuite allèrent successivement de la lame ensanglantée aux fourches, des fourches à la lame... puis elle saisi la femme par les épaules avec une force démesurée pour sa petite taille, et se cacha courageusement derrière elle.

Par cette matinée d'été, pas une feuille ne frémissait. Il régnait un calme plat dans cette petite forêt sauvage... Pourtant la nature s'épanouissait et les sangliers sauvages gambadaient joyeusement dès les premières heures de l'aube... Mais ce matin fut diférent...
A l'orée du bois, une silouhette se dessinait...Il s'agissait d'une grande damoiselle au regard un peu perdu. Elle déambulait sur le chemin de pierres en regardant, étonnée, les alentours. Dans sa main, un couteau ensanglantée. On aurait pu la suivre grâce aux gouttes de sang qui jonchaient le chemin, mais le jour se levait et la populace s'éveillait à peine.
Depuis plusieurs heures déjà, on pouvait entendre, à l'orée de la forêt, un faible sifflement, caractéristique d'une flèche tirée avec assurance, bien souvent accompagné du bruit mat du choc entre le fer et le bois. C'était là l'entrainement matinal d'un jeune disciple de la déesse Crâ, ses cheveux étaient comme faits de blés dorés, et ses yeux de l'écorce du plus vieux des chênes mous. C'est alors que, tirant une flèche de son carquois, il entendit une grande clameur venant du village, il décida de mettre un terme à sa prière pour voir ce qui pouvait bien agiter les villageois à une heure si matinale
Une jeune fille aux jambes nues déboula alors devant lui en se tenant la tête. "Pas les oreilles! pas les oreilles!" implorait-elle à la foule furieuse qui était sur ses talons. Elle bouscula l'archer dans sa fuite, et se rua dans les fourrés, zig-zaga (orth? :/) entre les arbres, se retournant parfois vers ses poursuivants en faisant des moulinets avec son épée. Elle la rangeait bien vite en voyant le peu d'effet que le morceau de métal luisant produisait devant les paysans en colère. Son salut survint de derrière un arbre. Elle percuta de plein fouet la femme au couteau, et toutes deux tombèrent à la renverse dans la poussière. Durant une longue seconde de reflexion les yeux de la chevalière en fuite allèrent successivement de la lame ensanglantée aux fourches, des fourches à la lame... puis elle saisi la femme par les épaules avec une force démesurée pour sa petite taille, et se cacha courageusement derrière elle.
Du haut de cette scène, une féline de petite taille observait silencieusement... Eveillée en sursaut par cette clameur, elle s'était étirée et avait grimpé sur une branche plus propice à son observation. Elle avait vu cette charmante jeune fille courrir de toutes ses forces, puis tombée nez à nez avec cette grande damoiselle... Intriguée, elle essayait de comprendre cette situation plutôt burlesque. Mais sa queue dépassait des feuilles.....

Euh je vois pas trop comment suivre là, y a comme une incohérence, myth tu dis que les paysans sont soucieux de la vie de la iopette, mais pourtant c'est elle qu'ils poursuivaient avec des fourches, non ? ^^

ah je croyais qu'ils en voulaient à moi

Eh ben tu adaptes à la vraie version !

raa merde demain !

Rhoh, c'était pourtant clair, sinon pourquoi je serais en train de courir en me tenant la tête et en criant "pas les oreilles!!" ?
Enfin je trouvais pas ça si grave, pour ça que j'ai rien dit, dans ce genre de jeu on en arrive toujours à des trucs bizarres ^^

corrigé, bande de chieurs

Effrayées par toutes ces fourches brandies contre elles, les jeunes femmes se regardaient pour partager la peur que cette situation leur infligeait. D'un mouvement brusque, la femme à l'épée paralysa la cagoulée et plaça sa lame sur sa gorge; le sang coulait sur ses beaux vêtements bordeaux tandis qu'elle était prise de panique. Soucieux de la vie de l'une et conscient de la folie de l'autre, les paysans s'écartèrent laissant les deux femmes s'extraire de la foule. Une fois éloignées du village, la chevalière n'était plus menacée par la dague mais tirée par la main jusqu'au vieux marronier dans lequel unE félinE observait la scène.

Juste une question : la cagoulée c'est Myth, et la chevalière c'est Youf. Tu dis d'abord que Youf paralyse Myth et ensuite tu dis que Youf n'était plus menacé par la dague ( de myth je suppose...)

J'ai pas tout compris désolé :p

Mais j'veux bien continué si tu explique ca x)

Oui j'ai oublié de corriger la fin, d'ou l'incohérence. Mais ayé c'est fait.

Voila alors...

Effrayées par toutes ces fourches brandies contre elles, les jeunes femmes se regardaient pour partager la peur que cette situation leur infligeait. D'un mouvement brusque, la femme à l'épée paralysa la cagoulée et plaça sa lame sur sa gorge; le sang coulait sur ses beaux vêtements bordeaux tandis qu'elle était prise de panique. Soucieux de la vie de l'une et conscient de la folie de l'autre, les paysans s'écartèrent laissant les deux femmes s'extraire de la foule. Une fois éloignées du village, la sramette n'était plus menacée par la lame mais tirée par la main jusqu'au vieux marronier dans lequel unE félinE observait la scène

La féline plaqua la jeune femme sur le dos, lui faisant signe de se taire. Puis, Elle bondit hors des buissons, projeta la femme à l'épée à terre. Tant bien que mal, les 2 filles s'enfuirent a travers les sous-bois. Mais à peine s'étaient-elles élancées, une flèche siffla près de la féline et atteint un paysan : mort. Effrayées, paniquées, la féline tira rapidement la jeune femme dans les buissons. D'un signe de la main, la jeune sramette montrait un jeune homme, avançant dans le soleil du matin...

je réfléchis à la suite, mais je comprend pas vraiment qui est qui dans le dernier passage de Meow : "les 2 filles s'enfuirent" ? quelles deux filles ? ^^ et que devient la troisieme ?

2 filles s'enfuirent = Moi et Youf

La dernière étant resté dans les buissons...